Ils s’appellent Suly, Sallie,
Sunny. Mina, Mimi, Minette ou Mimine. Ils sont grands, petits, gras, parfois
gros. Attachant, agaçants, pots de colle ou distants. Ils ont des gueules.
Ce sont les chiens et les chats que je croise lorsque je franchi la porte de certaines maisons. Dans le village où je travaille, il y a des quartiers à chats et des quartiers à chiens, avec toujours un minimum de chats. C’est comme ça. Et c’est comme si les voisins s’étaient accordés.
Ce sont les chiens et les chats que je croise lorsque je franchi la porte de certaines maisons. Dans le village où je travaille, il y a des quartiers à chats et des quartiers à chiens, avec toujours un minimum de chats. C’est comme ça. Et c’est comme si les voisins s’étaient accordés.
Si j’entends aboyer en sonnant à
la porte, je me méfie, surtout si le chien ne me connait pas. Si je vois un
chat entre deux voitures au moment de quitter la maison de mes patients, je vérifie
rapidement si un félin n’est pas venu se réfugier sous mon véhicule.
Mais qu’ils réveillent nos
craintes, excitent notre curiosité ou
amadouent les plus récalcitrants. Ces bêtes à poils sont avant tout l’identité
de leurs maitres, la pièce maitresse de la chaumière.