Comment créer une connivence
entre une petite mamie qui s'ennuie et de jeunes graffeurs cherchant à faire
connaitre leur art ?
Elles s'appellent Dolorès, Luisa
ou Margarida, mais elles sont bien plus nombreuses, presque une centaine. Elles font toutes parti
d'un collectif appelé "LATA 65", et une chose est sûr, elles ne s'ennuient plus
depuis qu'elles ont découvert quoi faire avec des ciseaux, des pochoirs et des
bombes à graffiti.
(photo de Rui Gaiola ) |
Sous couvert des conseils de
street-artists, le gang de mamies envahi régulièrement les rues de Lisbonne
pour égayer les murs et redonner des couleurs à certains quartiers délabrés.
(photos de Rui Gaiola et Rafael Marchante ) |
(photo de Pedro Seixo Rodrigues ) |
Au delà de l'aspect esthétique
indéniable et du réel défouloir que doit représenter cette activité pour ces séniors
hors norme, on peut saluer l'effort pour deux générations de se réunir autour
d'un art que tout semblait opposer ! Respect !
(photos de Rui Soares ) |
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